Les impératifs professionnels obligent bien souvent les parents à travailler en horaires décalés, ce qui les empêche d’être présents à l’heure des devoirs du soir pour aider leurs enfants. C’est le cas pour la famille de Jennifer. La maman explique : « Mon mari est collaborateur au sein de l’usine Stellantis, où il travaille en 2x8. Quant à moi, mon organisation professionnelle est également incompatible avec un suivi régulier des devoirs de nos enfants. »
Le fait que le CSE de Stellantis ait noué un partenariat avec Prof Express a changé la donne de la famille : cet accord permet aux enfants de tous les salariés du groupe automobile d’accéder, sans frais, à un dispositif complet de soutien scolaire. Les enfants peuvent notamment suivre des sessions d’aide aux devoirs en ligne à la demande, assurées par des enseignants issus de l’Éducation nationale.
Ce dispositif permet d’obtenir une réponse lorsque l’élève est bloqué sur un devoir ou une leçon. C’est souvent le cas pour Tristan, le fils de Jennifer. Actuellement en 5ème au collège de Boulay-Moselle (57), il se connecte plusieurs fois par semaine sur son espace élève afin de demander du soutien scolaire en allemand. « Sa moyenne est en baisse et c’est maintenant qu’il faut travailler pour consolider les bases. L’enseignant qu’il a eu dernièrement en allemand est super ! Il répond parfaitement aux questions que se pose mon fils. »
Élodie, la sœur de Tristan, est en CM2. Elle fait également des demandes en ligne lorsqu’elle se pose des questions concernant des problèmes à résoudre en mathématiques. « Pour nous, en tant que parents, il n’est pas toujours facile de lui expliquer avec la bonne pédagogie. Nous n’avons pas forcément les bons mots, continue Jennifer. À l’école, les cours sont très théoriques, sans leçons ni cahiers, et ma fille a besoin d’explications structurées. Quand on n’est pas là, c’est son frère qui s’occupe de faire la demande auprès d’un enseignant en ligne, afin qu’elle se fasse recontacter. Dès que l’échange commence, il laisse Élodie seule avec l’intervenant et ça se passe toujours très bien ! »
Jennifer est enchantée du dispositif et regrette de ne pas l’avoir utilisé plus tôt : « En regardant les services proposés par le comité d'entreprise de Stellantis, je n’avais pas vu que le soutien scolaire était gratuit. Je trouve l’idée très pertinente et déterminante pour les années de collège et de lycée qui attendent Tristan et Élodie. »